Expert en bionettoyage vapeur et en bio-désinfection automatisée des surfaces, Oxy’Pharm aide les entreprises de l’agroalimentaire à concilier hygiène et productivité.
La sécurité sanitaire est un défi majeur de l’agroalimentaire, on l’a vu tout récemment avec les affaires des chocolats Kinder ou des pizzas Buitoni qui ont fait la Une des journaux, contaminations à la salmonelle pour les premiers, à la bactérie E. coli pour les secondes. Cas dramatiques, heureusement exceptionnels… mais peut-être révélateurs des arbitrages que certains industriels tentent entre productivité et hygiène. Peut-être, car c’est à la justice de le dire.
Une chose est sûre néanmoins, une hygiène exigeante doit accompagner toute la chaîne de production (et de transports, et de distribution) jusqu’à la date limite de consommation (DLC) et donc jusqu’à l’assiette du consommateur. Avec un nécessaire respect de normes sévères édictées par l’Europe – appelées « Paquet hygiène ».
Venu de l’univers de la santé, hôpitaux, cliniques, cabinets dentaires, le groupe Oxy’Pharm a entrepris de valoriser, dans ce marché émergent pour lui, son expertise dans la lutte contre toutes les infections et contaminations. Les risques sanitaires, Oxy’Pharm connaît !
Le conditionnement une étape à risques
Et c’est justement dans une étape particulièrement à risques, celle du conditionnement, qu’il est en train de donner la pleine mesure de l’efficacité de son offre globale de bionettoyage (Sanivap) et de bio-désinfection automatisée des surfaces (concept Nocotech).
« Prenons l’exemple du pain de mie, il a été cuit, pas de problème, c’est au moment de l’emballage qu’il va être sensible à la contamination par diverses espèces fongiques, explique Dominique opérateur d’une ligne de production d’une entreprise cliente. Il nous faut être intransigeant sur l’hygiène de l’atelier de conditionnement et sécuriser la DLC. Des moisissures apparaissent dans les échantillons-témoins que gardent les supermarchés ? Nous risquons la demande de dédommagement ou même la rupture de contrat ». Plusieurs autres filières de l’agroalimentaire rencontrent d’ailleurs elles aussi des problèmes de germes pathogènes…
Optimiser le nettoyage et la désinfection
En amont de la bio-désinfection, et en complément du nettoyage classique, Oxy’Pharm offre la solution de la détergence Sanivap. La puissance de la vapeur diffusée par le générateur SP600 permet d’atteindre les endroits et/ou machines les plus difficiles d’accès. Conforme à la norme NF T 72-110, l’efficacité bactéricide, fongicide, levuricide et virucide de cette méthode de bionettoyage est éprouvée et prouvée depuis longtemps. La maniabilité des outils, la très faible utilisation d’eau et le séchage immédiat des surfaces sont aussi d’indiscutables atouts
« Mais l’argument qui fait mouche est aussi la possibilité de nettoyer pendant la production (pas de produit chimique et pas de rinçage) » ajoute Dominique.
La bio-désinfection Nocotech répond ensuite aux besoins de l’agroalimentaire du fabricant de produit à la ferme à la multinationale. Elle combine un appareil de diffusion automatique, le Nocospray (volumes de 10 à 1000 m3) ou le Nocomax Easy (500 à 20 000 m3) et un produit désinfectant le Nocolyse Food adapté aux surfaces en contact avec les aliments (certifié pour la filière bio, le traitement est aussi sans rinçage).
Rapide, la bio-désinfection préventive permet le traitement d’un volume de 1 000 m3 en 60 minutes et le Nocomax Easy en 10 minutes de temps de diffusion et de contact auquel il faut ajouter 60 minutes de temps d’attente. Le temps réduit d’une bio-désinfection qui n’oublie ni le système de ventilation ni aucun recoin ou interstice du local. L’autre incontestable avantage de la méthode étant le « zéro humidité », car le produit est diffusé sous forme d’un brouillard sec, biodégradable, pas besoin d’essuyer, d’aérer ni de rincer.
« L’agroalimentaire est en surchauffe, on y travaille en équipes précisément pour produire en continu mais cela n’empêche pas d’optimiser le nettoyage et la désinfection ! » conclut Dominique.